C'est dans ce sujet que seront répertoriées les différentes allégeances des Bellatores. Pour ce faire, il vous suffit de répondre à ce sujet en postant le formulaire suivant. Petite note, il n'est possible d'être vassal que d'un seigneur se trouvant dans le même région que la sienne. Un chevalier d'une famille blanchefleuroise ne pourra pas être vassal d'un seigneur du Beaumaresches, par exemple.

Pour vous aider à remplir le petit formulaire, n'hésitez pas à lire les informations complémentaires qui se trouvent à la suite de ce message


Blanchefleur
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Grantlac
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• ...

Gelanterres
• Evrard de Vaast → Archevêque Andegaire VI
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Beaumaresches
• Rainier de Foursenailles → Roi Adelphe VII de Pointe-du-Jour
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Code:

<span class="sub-title">Maison Lorem Ipsum</span>
[b]• Région :[/b] Lorem Ipsum
[b]• Blason :[/b] Lorem Ipsum
[b]• Devise :[/b] Lorem Ipsum
[b]• Chef de famille :[/b] Lorem Ipsum
[b]• Historique familiale :[/b] (150 mots maximum)
[b]• Suzerain :[/b] Lorem Ipsum

C'est par la cérémonie de l'hommage que se nouent les liens de la vassalité. Nu-tête, sans arme, en posture de complète humilité, le vassal vient s'agenouiller devant celui dont il a choisi de devenir l'homme et place entre les mains de celui-ci ses deux mains jointes, en signe de total abandon. Le seigneur le relève aussitôt et le baise sur les lèvres, geste qui exprime le caractère honorable de l'engagement et rétablit entre les contractants des rapports d'égalité. Puis le vassal, prenant l'Impartial à témoin ( ou la Stérile dans le cas du Gelanterres ), prête serment de fidélité, engageant sa propre foi et manifestant qu'il n'a rien aliéné de sa liberté. C'est alors que le seigneur l'investit de son fief. Tous les hommages ne sont pas suivis de l'investiture : il y existe aussi des vassaux non fieffés que leur seigneur entretient dans sa maison et dont il ravive l'amitié par des cadeaux périodiques.

L'attache ainsi nouée lie les deux hommes pour la vie. L'obligation fondamentale du vassal est de ne rien faire qui puisse causer dommage au seigneur dans son corps, dans ses biens, dans son honneur. Le lien vassalique a donc pour fonction primordiale d'établir entre les deux contractants une garantie de sécurité. Mais le devoir de ne pas nuire s'accompagne d'exigences positives qui s'expriment par deux mots, l'aide et le conseil. Aider, c'est venir à la rescousse, prêter main-forte dans les difficultés, et, dans ce milieu de guerriers, spécialement par les armes. Quant à l'obligation de conseil, elle astreint à se rendre auprès du seigneur lorsque celui-ci convoque sa cour, sans l'avis de laquelle il ne peut prendre aucune décision importante. Cette « amitié » très solide est, cependant, susceptible de se rompre. Le manquement aux obligations mutuelles, la félonie, entraîne le « défi », c'est-à-dire la rupture de la foi. Lorsqu'elle vient du vassal, le seigneur est en droit de faire prononcer, par la cour féodale composée de ses autres feudataires, la confiscation du fief, qu'il est en droit de reprendre par la force.

Les armoiries se composent de deux éléments : des figures et des couleurs. À l'intérieur de l'écu, les unes et les autres ne peuvent pas être employées ni associées n'importe comment. Elles obéissent à des règles de composition, peu nombreuses mais permanentes et contraignantes.

La principale règle du blason concerne les couleurs. Celles-ci n'existent qu'en nombre limité et portent des noms particuliers qui soulignent leur caractère abstrait, conceptuel : or (jaune), argent (blanc), gueules (rouge), sable (noir), azur (bleu), sinople (vert) et pourpre (violet-gris). Ces couleurs ne peuvent pas s'employer indifféremment. Le blason, en effet, répartit ces sept couleurs en deux groupes : dans le premier sont rangés l'or et l'argent ; dans le second, le gueules, le sable, l'azur, le sinople et le pourpre. La règle interdit de superposer ou de juxtaposer deux couleurs appartenant au même groupe.

Exemple :
Un écu dont la figure est un lion ; si le champ de cet écu est d'azur, le lion pourra être d'or ou d'argent, mais il ne pourra pas être de gueules, de sable, de sinople ou de pourpre. Inversement, si le champ est d'or, le lion pourra être de n'importe quelle couleur sauf l'argent.

Les figures utilisées par le blason sont essentiellement des figures animales, végétales et, surtout, géométriques. Leur dessin est également régi par certains principes qu'il convient de respecter. Les figures géométriques ont des proportions définies, et les animaux sont représentés de manière conventionnelle, n'ayant souvent que peu de rapport avec la réalité de leurs formes. Afin d'être vus de loin, ils sont fortement stylisés, et toutes les parties servant à les faire reconnaître (tête, queue, griffes, bec) sont exagérées. Il en est de même des végétaux, dont les feuilles, les fleurs ou les fruits sont disproportionnés par rapport au tronc ou à la tige.

Si vous avez besoin d'aide pour créer et décrire votre blason, n'hésitez par à contacter les Douze !